Développement de l'arrière-quai 108

Le Port de Québec veut aménager le terrain derrière le quai 108 afin qu'il soit dédié à de l’entreposage de vrac et de marchandises générales. Les activités portuaires envisagées seront en continuité avec ce qui est déjà entreposé et transbordé sur les quais 101 à 107 dans le secteur de l’anse au Foulon. Ce projet permettra de pallier au problème du manque d’espace dans ce secteur, d'assurer la poursuite des activités existantes et d'optimiser l'utilisation d'un terrain sous utilisé. Il améliorera aussi la fluidité de la circulation et de l’accès au quai 108, notamment par l’ajout de deux nouveaux chemins d’accès. Actuellement, une partie du terrain visé par le projet est occupé par Midatlantic Minerals Inc. qui opère une usine de quartz ainsi que par l’opérateur QSL pour l’entreposage de conteneurs et de cargaisons générales. Le Port entrepose également des sols excavés à l'ouest du site.

Objectifs spécifiques du projet :

Aménager une aire pavée principalement dédiée à l’entreposage et au transit de marchandises. Celle-ci accueillera des marchandises générales (conteneurisées ou non), du vrac solide comme du sel de déglaçage. Le nouveau terminal sera raccordé aux différents réseaux et services (aqueduc, pluvial, électrique, etc.) et deux voies dédiées à la circulation seront également aménagés;
Aménager le nouveau terminal afin qu’il soit polyvalent et qu'il permette une utilisation évolutive dans les prochaines années;
Optimiser, dans le respect des lois, des règlements et des bonnes pratiques environnementales, l’utilisation des sols entreposés sur le site du projet à même le nouvel aménagement.

Principaux ouvrages projetés :

Nouvelle plateforme en revêtement souple couvrant une superficie d’environ 40 000 mètres carrés, utilisées pour des opérations portuaires, principalement comme surface d’entreposage et de manutention de divers matériaux;
Deux nouveaux chemins d’accès en revêtement souple, intégrés à l’aménagement d'une aire d'entreposage, à leur pourtour incluant la bordure du quai;
Réseau collecteur de drainage du site couvrant l’ensemble des surfaces incluses au nouvel aménagement et celles de la bordure du quai;
Système de traitement des eaux pluviales à intégrer au réseau collecteur;
Nouveau tronçon bouclé d’aqueduc;
Nouveaux massifs de conduits électriques et puits de tirage souterrains;
Nouveau réseau d’éclairage pour l’arrière-quai;
Démolition de l'usine de Midatlantic Minerals.

Objectifs spécifiques du projet :

Aménager une aire pavée principalement dédiée à l’entreposage et au transit de marchandises. Celle-ci accueillera des marchandises générales (conteneurisées ou non), du vrac solide comme du sel de déglaçage. Le nouveau terminal sera raccordé aux différents réseaux et services (aqueduc, pluvial, électrique, etc.) et deux voies dédiées à la circulation seront également aménagés;
Aménager le nouveau terminal afin qu’il soit polyvalent et qu'il permette une utilisation évolutive dans les prochaines années;
Optimiser, dans le respect des lois, des règlements et des bonnes pratiques environnementales, l’utilisation des sols entreposés sur le site du projet à même le nouvel aménagement.

Principaux ouvrages projetés :

Nouvelle plateforme en revêtement souple couvrant une superficie d’environ 40 000 mètres carrés, utilisées pour des opérations portuaires, principalement comme surface d’entreposage et de manutention de divers matériaux;
Deux nouveaux chemins d’accès en revêtement souple, intégrés à l’aménagement d'une aire d'entreposage, à leur pourtour incluant la bordure du quai;
Réseau collecteur de drainage du site couvrant l’ensemble des surfaces incluses au nouvel aménagement et celles de la bordure du quai;
Système de traitement des eaux pluviales à intégrer au réseau collecteur;
Nouveau tronçon bouclé d’aqueduc;
Nouveaux massifs de conduits électriques et puits de tirage souterrains;
Nouveau réseau d’éclairage pour l’arrière-quai;
Démolition de l'usine de Midatlantic Minerals.

Quels sont vos commentaires ou préoccupations liés au réaménagement de ce secteur?

FERMÉ: Cette discussion est terminée.

Je demande formellement que le dossier concernant le projet du Quai 108 soit présenté sans délai au Conseil d'administration du Port et référé au Ministère de l'Environnement du Canada.
Cette validation par un organisme plus impartial n'affectera pas le début des travaux, qui doivent commencer de toute façon par l'enlèvement des piles de sols contaminés et le démantèlement de l'usine de traitement de minerais.
Elle permettra cependant au Conseil d'administration d'agir de manière prudente, conformément à l'article 4.9 b) des lettres patentes.
Raisons de cette demande :
• Conflit d’intérêt flagrant : Le port de Québec, en tant que promoteur du projet, ne peut pas agir en tant qu'autorité approuvant l'étude environnementale pour le gouvernement du Canada. Une tierce partie impartiale est nécessaire pour assurer l'intégrité du processus d'évaluation.
• Sous-estimation du projet : Le projet du Quai 108 va au-delà de la simple manipulation de matériaux, comme démontré à l’annexe 3.1 de l’étude. Cette décision soulève des doutes quant à la rigueur du processus d'évaluation et pourrait laisser penser qu’elle visait à accélérer le processus d'approbation à l’interne.
• Précédents inquiétants : Les récents projets du port, comme celui de la Coop Fédérée (bruit, poussière) et le rejet du projet de containers Laurentia par le gouvernement, soulèvent des inquiétudes légitimes quant aux impacts à long terme du projet sur la qualité de vie des résidents.
• Hypothèses floues et invérifiables : Il est difficile, voire impossible, de prévoir l'impact potentiel de l'ajout de camions sur la sécurité, la congestion routière, le bruit, la qualité de l'air, l'éclairage, les activités récréatives, le bien-être des résidents, etc.
• Enjeux environnementaux minimisés : Les effets résiduels des contaminants présents sur le site sont largement documentés et leur confinement dans la nappe phréatique est inacceptable, en violation de la Loi sur la Qualité de l’environnement du Québec et de l’Article 36 (3) de la Loi sur les pêches.
• Impact des changements climatiques : Les changements climatiques exigent une action urgente pour préserver la qualité de l'eau potable, la biodiversité aquatique et l'intégrité environnementale pour les générations futures. La contamination sera irréversible une fois les travaux achevés.

Francois Vaudrin Il y a 8 mois

Je demande formellement que le dossier concernant le projet du Quai 108 soit présenté sans délai au Conseil d'administration du Port et référé au Ministère de l'Environnement du Canada. 
Cette validation par un organisme plus impartial n'affectera pas le début des travaux, qui doivent commencer de toute façon par l'enlèvement des piles de sols contaminés et le démantèlement de l'usine de traitement de minerais. 
Elle permettra cependant au Conseil d'administration d'agir de manière prudente, conformément à l'article 4.9 b) des lettres patentes.
Raisons de cette demande :
    • Conflit d’intérêt flagrant : Le port de Québec, en tant que promoteur du projet, ne peut pas agir en tant qu'autorité approuvant l'étude environnementale pour le gouvernement du Canada. Une tierce partie impartiale est nécessaire pour assurer l'intégrité du processus d'évaluation.
    • Sous-estimation du projet : Le projet du Quai 108 va au-delà de la simple manipulation de matériaux, comme démontré à l’annexe 3.1 de l’étude. Cette décision soulève des doutes quant à la rigueur du processus d'évaluation et pourrait laisser penser qu’elle visait à accélérer le processus d'approbation à l’interne.
    • Précédents inquiétants : Les récents projets du port, comme celui de la Coop Fédérée (bruit, poussière) et le rejet du projet de containers Laurentia par le gouvernement, soulèvent des inquiétudes légitimes quant aux impacts à long terme du projet sur la qualité de vie des résidents.
    • Hypothèses floues et invérifiables : Il est difficile, voire impossible, de prévoir l'impact potentiel de l'ajout de camions sur la sécurité, la congestion routière, le bruit, la qualité de l'air, l'éclairage, les activités récréatives, le bien-être des résidents, etc.
    • Enjeux environnementaux minimisés : Les effets résiduels des contaminants présents sur le site sont largement documentés et leur confinement dans la nappe phréatique est inacceptable, en violation de la Loi sur la Qualité de l’environnement du Québec et de l’Article 36 (3) de la Loi sur les pêches.
    • Impact des changements climatiques : Les changements climatiques exigent une action urgente pour préserver la qualité de l'eau potable, la biodiversité aquatique et l'intégrité environnementale pour les générations futures. La contamination sera irréversible une fois les travaux achevés.

Un îlot de chaleur peut entraîner des températures locales élevées et une qualité de l'air réduite, surtout pendant les périodes de chaleur extrême. Une surface de pavage noire sur 40 000 mètres carrés pourrait-elle causer cet effet dans la zone de stockage des conteneurs du port ? Si oui, avez-vous envisagé des solutions pour atténuer ces effets et assurer un environnement sain pour la communauté locale ?

Francois Vaudrin Il y a 8 mois

Consultation publique du 19 mars 2024 : Le port irait au-delà de la loi ?

Lors de la récente consultation publique au Port de Québec, le Port a laissé entendre plusieurs fois qu'il dépassait les exigences légales, suggérant même que la consultation publique n’était peut-être pas nécessaire. Cette affirmation me laisse perplexe.

Je comprends que le Processus Environnemental de Participation Citoyenne (PEPC) réglemente l'évaluation environnementale du port, mais son obtention par le biais de la Loi d'accès à l'information soulève des inquiétudes quant à la transparence.

Selon le PEPC, si un projet est classé comme de niveau "moyen", tel que le Quai 108 ou le terminal céréalier en 2018, la consultation publique est limitée à 30 jours, avec une date déterminée par le port, par exemple un mois avant le début des travaux.

Après la consultation, un comité interne partial nommé par le port, recommanderait l'approbation du projet à l'administration du port. Ensuite, le PDG autoriserait le projet au nom du gouvernement du Canada, sans le soumettre au Conseil d'administration du Port.

Je m'interroge sur la conformité de cette façon de faire avec la loi.

Je me demande également pourquoi le port n'a pas classé le projet à un niveau plus élevé, comme le prévoit le PEPC. Ce changement n'aurait allongé la période de consultation que de seulement 15 jours et n'aurait eu aucune incidence sur la fin des travaux. En revanche, il aurait permis de confier la consultation publique à trois commissaires plus indépendants, qui ne sont pas tous partie prenante au dossier. De plus, c'est le Conseil d'administration qui aurait approuvé le projet.

Ne croyez-vous pas que cette approche aurait été plus éthique, étant donné le conflit d'intérêts du port en tant que promoteur du projet ?

Francois Vaudrin Il y a 8 mois

Consultation publique du 19 mars 2024 : Le port irait au-delà de la loi ?

Lors de la récente consultation publique au Port de Québec, le Port a laissé entendre plusieurs fois qu'il dépassait les exigences légales, suggérant même que la consultation publique n’était peut-être pas nécessaire. Cette affirmation me laisse perplexe.

Je comprends que le Processus Environnemental de Participation Citoyenne (PEPC) réglemente l'évaluation environnementale du port, mais son obtention par le biais de la Loi d'accès à l'information soulève des inquiétudes quant à la transparence.

Selon le PEPC, si un projet est classé comme de niveau "moyen", tel que le Quai 108 ou le terminal céréalier en 2018, la consultation publique est limitée à 30 jours, avec une date déterminée par le port, par exemple un mois avant le début des travaux.

Après la consultation, un comité interne partial nommé par le port, recommanderait l'approbation du projet à l'administration du port. Ensuite, le PDG autoriserait le projet au nom du gouvernement du Canada, sans le soumettre au Conseil d'administration du Port.

Je m'interroge sur la conformité de cette façon de faire avec la loi.

Je me demande également pourquoi le port n'a pas classé le projet à un niveau plus élevé, comme le prévoit le PEPC. Ce changement n'aurait allongé la période de consultation que de seulement 15 jours et n'aurait eu aucune incidence sur la fin des travaux. En revanche, il aurait permis de confier la consultation publique à trois commissaires plus indépendants, qui ne sont pas tous partie prenante au dossier. De plus, c'est le Conseil d'administration qui aurait approuvé le projet.

Ne croyez-vous pas que cette approche aurait été plus éthique, étant donné le conflit d'intérêts du port en tant que promoteur du projet ?

Section 8 de l’EEE : Les travaux ont un impact significatif sur l'environnement et la protection aquatique

Dans la section 8 de l'étude environnementale, il est mentionné que le développement du quai 108 n'aura pas d'effets cumulatifs significatifs sur l'environnement. Cette déclaration ignore plusieurs considérations importantes :

La contamination généralisée de l'Anse au Foulon, par des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et des métaux, résultant d'activités industrielles passées telles que les anciens réservoirs de goudron de houille, est bien documentée.
Les HAP sont reconnus comme des substances toxiques cancérigènes ayant des répercussions sur la santé humaine et l'environnement. Ils peuvent entraîner divers effets systémiques, des problèmes de reproduction, des risques de cancer, et sont également toxiques pour les organismes aquatiques (source : Gouvernement du Canada, 2013 ; INERIS, 2003 ; Ministère de l'Environnement du Québec).
Les évaluations antérieures révèlent une contamination en profondeur sous le quai 107, suggérant une situation similaire, voire plus préoccupante, sous le quai 108.
La quasi-totalité des études font état de la perméabilité du sol et des variations de la nappe phréatique induites par les marées. Ces conditions facilitent la propagation des contaminants vers le fleuve, ce qui menace l'écosystème aquatique et enfreint l'article 36(3) de la Loi sur les pêches.
La proposition de réutiliser des sols contaminés pour les remblais est inacceptable et défie les règles de protection environnementale, surtout à proximité d’un plan d’eau. De plus, elle contredit les recommandations visant à retirer les matériaux ne respectant pas les normes du CCME, comme indiqué dans l'annexe Englobe.
L'approche proposée, consistant à sceller les contaminants sous une couche de pavage sans prévoir de décontamination future, est inacceptable et va à l'encontre des principes fondamentaux de préservation environnementale.

Francois Vaudrin Il y a 8 mois

Section 8 de l’EEE : Les travaux ont un impact significatif sur l'environnement et la protection aquatique

Dans la section 8 de l'étude environnementale, il est mentionné que le développement du quai 108 n'aura pas d'effets cumulatifs significatifs sur l'environnement. Cette déclaration ignore plusieurs considérations importantes :

La contamination généralisée de l'Anse au Foulon, par des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et des métaux, résultant d'activités industrielles passées telles que les anciens réservoirs de goudron de houille, est bien documentée.
    Les HAP sont reconnus comme des substances toxiques cancérigènes ayant des répercussions sur la santé humaine et l'environnement. Ils peuvent entraîner divers effets systémiques, des problèmes de reproduction, des risques de cancer, et sont également toxiques pour les organismes aquatiques (source : Gouvernement du Canada, 2013 ; INERIS, 2003 ; Ministère de l'Environnement du Québec).
    Les évaluations antérieures révèlent une contamination en profondeur sous le quai 107, suggérant une situation similaire, voire plus préoccupante, sous le quai 108.
    La quasi-totalité des études font état de la perméabilité du sol et des variations de la nappe phréatique induites par les marées. Ces conditions facilitent la propagation des contaminants vers le fleuve, ce qui menace l'écosystème aquatique et enfreint l'article 36(3) de la Loi sur les pêches.
    La proposition de réutiliser des sols contaminés pour les remblais est inacceptable et défie les règles de protection environnementale, surtout à proximité d’un plan d’eau. De plus, elle contredit les recommandations visant à retirer les matériaux ne respectant pas les normes du CCME, comme indiqué dans l'annexe Englobe.
    L'approche proposée, consistant à sceller les contaminants sous une couche de pavage sans prévoir de décontamination future, est inacceptable et va à l'encontre des principes fondamentaux de préservation environnementale.

Réunion du 19 mars 2024 : Contamination des eaux du fleuve

Lors de la réunion tenue le 19 mars 2024 au Port de Québec, des préoccupations ont été exprimées concernant la contamination potentielle des eaux du fleuve par la nappe phréatique. Conformément à l'article 36(3) de la Loi sur les pêches, il est strictement interdit d'immerger ou de rejeter une substance nocive — ou d’en permettre l’immersion ou le rejet — dans des eaux où vivent des poissons.

La quasi-totalité des études, incluant celle de de SNC-Lavalin réalisée pour la Coop Fédérée en 2018, confirment la perméabilité du sol et des variations de la profondeur de la nappe phréatique sous l’effet des marées. Ces conditions facilitent le déversement de contaminants dans les eaux du fleuve et il est crucial de ne pas aggraver la situation en recouvrant le sol d'une couche imperméable, ce qui empêcherait toute décontamination ultérieure.

Il est également important de noter que ces sols contaminés sont sous la responsabilité du port et ils sont situés à proximité d'un espace récréatif comprenant des activités aquatiques, une promenade, une piste cyclable et des résidences. Cette proximité soulève des préoccupations légitimes quant à l'impact sur la santé et l'environnement de la communauté environnante.

En conclusion, il est pratiquement impossible d'empêcher la migration des contaminants vers le fleuve, à moins d'entreprendre des mesures de décontamination adéquates et complètes, qui auraient dû être prises il y a trente ou quarante ans. Ces actions sont maintenant indispensables pour protéger la vie aquatique, l'eau potable, la santé publique et l'environnement.

Francois Vaudrin Il y a 8 mois

Réunion du 19 mars 2024 : Contamination des eaux du fleuve

Lors de la réunion tenue le 19 mars 2024 au Port de Québec, des préoccupations ont été exprimées concernant la contamination potentielle des eaux du fleuve par la nappe phréatique. Conformément à l'article 36(3) de la Loi sur les pêches, il est strictement interdit d'immerger ou de rejeter une substance nocive — ou d’en permettre l’immersion ou le rejet —  dans des eaux où vivent des poissons.

La quasi-totalité des études, incluant celle de de SNC-Lavalin réalisée pour la Coop Fédérée en 2018, confirment la perméabilité du sol et des variations de la profondeur de la nappe phréatique sous l’effet des marées. Ces conditions facilitent le déversement de contaminants dans les eaux du fleuve et il est crucial de ne pas aggraver la situation en recouvrant le sol d'une couche imperméable, ce qui empêcherait toute décontamination ultérieure.

Il est également important de noter que ces sols contaminés sont sous la responsabilité du port et ils sont situés à proximité d'un espace récréatif comprenant des activités aquatiques, une promenade, une piste cyclable et des résidences. Cette proximité soulève des préoccupations légitimes quant à l'impact sur la santé et l'environnement de la communauté environnante.

En conclusion, il est pratiquement impossible d'empêcher la migration des contaminants vers le fleuve, à moins d'entreprendre des mesures de décontamination adéquates et complètes, qui auraient dû être prises il y a trente ou quarante ans. Ces actions sont maintenant indispensables pour protéger la vie aquatique, l'eau potable, la santé publique et l'environnement.

Je veux préciser ma question: quelle sera l'achalandage prévu pour l'année 2025 et 2026 pour les quais 107 et 108 en nombre de bateau.

Déjà hier soir, l'Unimak est venu au quai 107, ce qui est inhabituel.
Et le nombre de containers sur le quai 108 a déjà augmenté, soit seulement 2 jour après votre présentation !

Chantal Rhéaume Il y a 8 mois

Je souhaite savoir quelle sera l'augmentation du nombre de navires qui accosterons au quai 108. Combien il y en avait du 1-1-2023 au 31-12-2023? et combien sont prévus pour l'année 2025 et 2026? Parce qu'il y aura nécessairement une augmentation vu que nous allons récupérer ceux qui accostaient plus à l'est.

Je souhaite savoir quel est le plan d'Éclairage pour la nouvelle surface. Combien de lampadaires supplémentaires sont prévus sur la surface. Parce que déjà, il faut savoir que les deux en place éclairent beaucoup.

Chantal Rhéaume Il y a 8 mois

Pile de sols contaminés: Il est troublant d'apprendre que des sols contaminés ont été entreposés sur le site de l'Anse-au-Foulon depuis des décennies, malgré l'existence présumée de règlements environnementaux. Cette situation soulève des doutes quant à la transparence de l'APQ.
La première étape devrait être le retrait de ces contaminants, suivi d'une consultation publique sur le projet de containers. Il est crucial d'éviter de tout précipiter en urgence et de garantir une démarche transparente et responsable.

Francois Vaudrin Il y a 8 mois

Insuffisance de la période de consultation et trop rapprochée de la date de début des travaux

Je souhaite exprimer mon désaccord concernant le délai de six semaines alloué avant le début des travaux. Ce laps de temps est clairement insuffisant pour permettre une consultation efficace des citoyens affectés par les activités portuaires, d'autant plus que des discussions légitimes ont eu lieu entre la nation Huronne et l'APQ entre mai et fin septembre 2023.
Il est donc essentiel de prolonger cette période de consultation afin de garantir une participation démocratique effective et de prendre en compte les préoccupations légitimes de toutes les parties prenantes.

Francois Vaudrin Il y a 8 mois

Les usages futurs du Port doivent prendre en considération l’impact sur le volume de transport par camions sur le boulevard Champlain et surtout toute la zone historique et touristique du Vieux-Québec. Déjà le secteur est saturé par la pollution sonore et par la pollution de l’air provoqué par les passages de nombreux camions lourds dans le secteur, sans compter bien sûr la sécurité des piétons notamment des touristes. Et ces nombreux transports sont fortement liés aux activités du Port

Jocelyn Gilbert Il y a environ 1 an